Nungesser, Histoire d'une l'égende !








"Valenciennes pour les nuls ! " :



L'historique du Club

Les débuts

Fondée en 1913, l’Union Sportive Valenciennes Anzin adhère, 20 ans plus tard, au professionnalisme et termine 7ème de l’édition 1933-1934 du championnat de deuxième division. Dès l’année suivante, l’USVA, second derrière le FC Metz, accède en première division pour la première fois de sa courte histoire. Pour son premier match parmi l’élite du football français le 27 août 1935, VA s’incline lourdement 12-1 face au champion sortant, Sochaux, IGNACE, l’avant-centre valenciennois, inscrivant dans la tourmente le premier but du club en première division. Malgré l’apport de deux joueurs britanniques, O’DOWD et GIBSON, l’équipe est immédiatement reléguée en deuxième division. VA retrouve la première division en 1937-1938 avant d’être à nouveau relégué en 1938-1939, dernière saison avant la guerre. Pendant l’occupation, le club dispute un championnat régional et aurait pu prétendre, à la libération, à la première division si les instances fédérales n’en avaient décidé autrement.

VA en Finale de Coupe de France

A partir de 1945 et pendant dix ans, VA évolue en deuxième division et écrit, en 1951, l’une des plus belles pages de son histoire. Après avoir successivement éliminé Piennes (Amateurs) 2-1, Calais (Amateurs) 4-1, le CA Paris (D2) 2-0, le LOSC (D1) 2-1, le RC Paris (D1) 2-2 et 1-0 et St Etienne (D1) 3-1, VA affronte le 6 mai 1951 à Colombes le RC Strasbourg (D1) en finale de la Coupe de France devant 61492 spectateurs. Sous les yeux de Binbin (notre photo), le géant de la ville, la rencontre débute par un clin d’œil au Président de la République, Vincent Auriol, à qui les dirigeants valenciennois offrent une dentelle de Valenciennes brodée à ses initiales : VA …
Les hommes de l’Escaut, entraînés par PERUS (WITTOWSKI, PAZUR, BLACZYK, GAILLARD, IZYDORCZYK, WASSMER, VERDEAL, LETURGEON, VRAND, ROZE et GOFFART) s’inclinent malheureusement 3-0.

Après un match de barrage perdu contre l’OM en 1952, VA est opposé en 1956 dans cette même épreuve au LOSC et retrouve la D1, condamnant son grand rival régional à la relégation.

La belle époque

C’est l’époque du tandem DOMERGUE-DESMENEZ pendant laquelle VA va vivre ses années les plus fastes : 14ème en 1956-1957, 15ème en 1957-1958, 13ème en 1958-1959 et 8ème en 1959-1960. Le 13 mars 1955 reste également dans l’histoire avec le record d’affluence toujours inégalé à Nungesser : 21.268 spectateurs (pour une recette de 5.562.575 anciens francs) ont en effet assisté ce jour là à la victoire de VA 3 à 0 face à Sedan, leader invaincu de la division.
En 1961, VA, 19ème de son championnat, est relégué mais retrouve la première division la saison suivante. Sous l’impulsion des BONNEL (notre photo), PIUMI, MASNAGHETTI, PROVELLI, KOCIK , SAUVAGE, MAGIERA, CHIARELLI et VAN RHIJN, VA accumule les places d’honneur (9ème en 1962-1963, 6ème en 1963-1964 et 3ème en 1964-1965 et 1965-1966) et se forge aux quatre coins du pays l’image d’une équipe vaillante et combattive.

Les buteurs à l'honneur

C’est aussi l’époque des grands buteurs valenciennois avec VAN RHIJN (40 buts en 1954-1955), toujours meilleur buteur du club en une saison et Serge MASNAGHETTI, successivement roi des canonniers de D2 (21 buts en 1961-1962) et de D1 (35 buts en 1962-1963) avec 7 buts d’avance sur son dauphin, le Monégasque COSSOU. En 1965-1966, à Nungesser face à Nice (4-2), " Masna " signe le " hat-trick " le plus rapide du football français avec 3 buts en 7 minutes. Troisième à deux reprises, VA aurait joué la Coupe de l’UEFA, si celle-ci avait existé à l’époque et se console en étant désigné représentant officiel du football français lors d’une mémorable tournée à Hong Kong.

VA fait l'ascenseur

Mais l’euphorie n’aura qu’un temps ! En 1969-1970, VA, 18ème et dernier du championnat ne doit son salut qu’à la création d’une première division à 20 clubs, ce qui ne l’empêche pas de descendre à l’issue de la saison suivante.
A nouveau l’ascenseur, puisque dès 1972, VA, sous l’impulsion d’un jeune espoir, Didier SIX (notre photo), évolue en première division, rechute en 1973 pour remonter en 1975, après avoir échoué en 1974 à l’issue d’un match de barrages scandaleux face au PSG de Daniel HECHTER. L’année 1979-1980 restera également dans les mémoires avec une victoire acquise dans le chaudron vert de Geoffroy Guichard 1-0 devant le St Etienne des Platini, Curkovic et Rocheteau. En 1981, VA est élu pour la seconde fois de son histoire par le magazine France Football meilleur club français pour sa politique de jeunes. VA se maintient parmi l’élite jusqu’en juin 1982 où sa 18ème place le condamne à disputer l’épreuve des barrages : Mulhouse, vainqueur 5-2 en Alsace, obtient le nul à Nungesser 1-1 et remplace VA en première division.

L’USVA devient l’USVAA

Dès lors, c’est la chute progressive au classement de D2, VA ne sauvant sa tête in extremis en 1985-1986 lors d’une ultime victoire 2-1 face à Sedan à Nungesser. Mais les problèmes financiers demeurent et le club est administré en 1986 par Colette GADEYNE, syndic, qui, après avoir tout tenté pour trouver un repreneur, s’adresse presque par hasard un matin de novembre 1986 à un jeune avocat d’affaires parisien. Le coup de cœur est immédiat et Jean-Louis BORLOO (notre photo), par défi mais aussi par simple refus de la fatalité craque pour ce club au bord du gouffre : il devient aussi, en accédant à la présidence de VA, le plus jeune président d’un club professionnel en France. En février 1987, le Tribunal de Grande Instance de Valenciennes accepte le plan de reprise du club et l’USVA devient l’USVAA (comme Arrondissement) ; sur le terrain, Didier SIX, après de multiples périples au travers de l’Europe revient au club pour apporter son expérience au groupe dirigé par Léon DESMENEZ et Daniel LECLERCQ.

Création du VAFC

Le 1er avril 1996, sous l ‘impulsion de Bernard MOREAU et Jean-Claude BRIENNE, l’USVA devient officiellement le VAFC. Pour sa première saison en CFA, le club se classe 2ème de son championnat, distancé à la différence de buts particulière par Raon l’Etape et Boulogne. L’année suivante est celle de la remontée en National, accompagnée d’un titre de Champion de France amateurs et du titre du meilleur buteur de la division pour Michel SANCHEZ (26 buts). S’en suivent deux saisons en National, sous la conduite de Ludovic BATELLI, à l’issue desquelles VAFC se classe deux fois 5ème, après avoir frôlé l’accession la première année. Après une année difficile marquée par une rétrogradation en CFA, le VAFC, sous l'impulsion de Didier OLLE-NICOLLE retrouve fin 2002 le National ainsi qu'un ticket BORLOO - MOREAU à sa tête.

Du National à l'élite...

Pour son retour en National, le VAFC réussit une très belle saison, terminant à la sixième place, à seulement six points de Rouen, troisième et dernier promu en Ligue 2. A l’issue de la saison, Didier OLLE-NICOLLE est remplacé par Daniel LECLERCQ. L'exercice 2003-2004 est un peu plus difficile. Dixièmes en championnat, les Rouge et Blanc se rattrapent en Coupe de France avec un seizième de finale mémorable face à l’AS Monaco à Nungesser (défaite aux pénalties, 0-0). Dès lors, une nouvelle aventure commence… avec également un nouveau président !

Double champion de France : une performance historique !

Alors que le club devient une SASP, c’est Francis DECOURRIERE qui en prend la tête. Côté sportif, le soleil brille à nouveau. En effet, sous les ordres du druide, le VAFC survole l’édition 2004-2005 du championnat de National et décroche le titre de champion (avec Steve SAVIDAN meilleur buteur du championnat, 19 buts).

Le retour en Ligue 2 entraîne l’arrivée d’un nouveau coach, Antoine KOMBOUARE. Logiquement, les ambitions sont mesurées, mais petit à petit, les bons résultats se succédant, on se met à rêver à une accession en Ligue 1. Ce que réaliseront au final Laurent DUFRESNE et ses coéquipiers puisqu’ils deviennent une nouvelle fois champions après une fin de championnat menée de main de maître (dans le sillage du meilleur buteur de Ligue 2… Steve SAVIDAN, avec 17 réalisations).
Deux montées d’affilée qui permettent donc à cette équipe de passer du National à la Ligue 1 en deux ans, fait rarissime (et même unique pour ce qui est des deux titres de suite) ! Aujourd’hui, le VAFC retrouve l’élite treize ans après l’avoir quittée. Un défi à la hauteur d’un groupe qui a d’ores et déjà marqué l’histoire du club.

Le stade Nungesser

 Charles Nungesser
Le Stade a qui fut donné le nom de Nungesser, glorieux enfant de Valenciennes, fut construit en 1930 avec les moyens du bord, car l’argent n’abondait pas. Si la surface de jeu était immense (110 m X 65 m), les installations restaient précaires : seule une misérable tribune en bois garnissait un des côtés du terrain. Quand aux vestiaires, ils étaient réduits à leur plus simple expression et démunis de tout confort.

Un an plus tard, de nouveaux travaux furent entrepris et Nungesser devint Stade Vélodrome par l’adjonction d’une piste destinée aux cyclistes. Lorsque V.A. monta en Nationale, la Fédération Française de Football obligea les dirigeants valenciennois à modifier une nouvelle fois l’aspect du stade et à construire la fameuse tribune de fer. Par la même occasion, la tribune d’honneur fut agrandie, les virages dotés de marche en ciment et les vestiaires munis de douches chaudes. En 1938, DEMEILLEZ, entraîneur de VA, jugea le terrain trop grand et fit diminuer sa longueur de six mètres.

En 1953, le Comité Directeur estima qu’il était devenu indispensable de faire construire une vaste tribune d’honneur d’où la visibilité serait parfaite. Avec l’aide de la Municipalité, cette réalisation fut rapidement exécutée par les Grands Travaux de l’Escaut et, dès 1955, le Stade Nungesser avait l’aspect qu’il posséda jusqu’à la dernière accession des Rouge et Blanc en D1 en 1992. 

Le 13 mars 1955, comme pour célébrer cette nouvelle enceinte, le Stade Nungesser connut ce qui constitue toujours à ce jour la plus grosse affluence de son histoire : 21.268 spectateurs assistèrent en effet à l’exploit de VA qui tomba le leader invaincu de la division, Sedan, sur le score sans appel de 3-0.

En 1992, pour répondre aux exigences du règlement qui oblige tous les clubs de D1 à offrir 20.000 places assises, la Municipalité entreprit la construction d’une nouvelle tribune couverte derrière les buts qui condamna définitivement la piste cycliste. D’abord appelée Tribune Est, cette nouvelle tribune de 6.357 places assises prit ensuite le nom de l’un des plus charismatiques présidents de l’USVA, H.A.Pouille.

  

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Le stade du Hainaut

Le Stade du Hainaut est un stade multifonction de 25 172 places assises dont près de 2 600 places affaires et 240 places en loges privatives réparties dans seize loges. Il comprend également deux écrans géants de 48 m2 chacun disposés en haut des virages Nord et Sud.

Principalement utilisé pour le football, il est situé dans le quartier Nungesser à l'est de Valenciennes et accueille les matches du Valenciennes FC.
Le stade est également un espace de représentations artistiques.

Ce stade est un des projets majeur de la Communauté d'agglomération de Valenciennes Métropole, maître d'ouvrage. Il a une capacité d'accueil de 25 172 places, contre 16 547 pour l'ancien stade Nungesser, devenu obsolète pour un club évoluant parmi l'élite. La capacité du stade peut être étendue à environ 35 000 places pour les concerts et autres représentations artistiques.

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La façade du Stade du Hainaut est constituée de 8 000 écailles en inox brut de 1 m x 1 m chacune. Leur luisance satinée et leur finition non traitée renvoie parfaitement la lumière, à la manière d'un carénage industriel semblable à celui des avions, des voitures ou des bateaux. Elles peuvent être illuminées d'une lumière blanche.

56 fléaux soutiennent l'ensemble, arrangés de manière concentrique autour du terrain. La toiture comprend 1 800 tonnes d'acier.

L'enceinte contient 25 172 places assises dont près de 2 600 places « privilège » et 250 places en loges privatives réparties dans seize loges. Il comprend également deux écrans géants de 48 m2 chacun disposés en haut des virages Nord et Sud. Le stade dispose enfin de trois salons de 100 à 400 m2 ainsi que de trois grands halls de 300 m2, d'espaces réceptifs et de douze friteries intégrées au stade.

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Palmarès du club

1951 : Finaliste de la Coupe de France
1959 : Finaliste de la Coupe Charle Drago
1972 : Champion de France de 2ème Division
1935 : Vice-Champion de France de 2ème Division
1937 : Vice-Champion de France de 2ème Division
1962 : Vice-Champion de France de 2ème Division
1992 : Vice-Champion de France de 2ème Division
1998 : Champion de France Amateurs (CFA)
2005 : Champion de France National
2006 : Champion de France de Ligue 2 Orange
2008 : 1/4 de finale Coupe de la Ligue
2011 : 1/4 de finale Coupe de de France


Le parcours du FC Valenciennes en Coupe de France depuis 1995-1996

2012-2013 (L1)

  • Trente-deuxièmes de finale : Istres (L2) - Valenciennes FC

2011-2012 (L1)

  • Trente-deuxièmes de finale : Le Mans FC (L2) - Valenciennes FC : 0-2
     
  • Seizièmes de finale : Valenciennes FC - SC Bastia (L2) : 3-1
     
  • Huitièmes de finale : Valenciennes FC - LOSC (L1) : 2-1
     
  • Quarts de finale : Valenciennes FC - Stade Rennais FC (L1) : 1-3

2010-2011 (L1)

  • Trente-deuxièmes de finale : Angers SCO (L2) - Valenciennes : 2-1 a.p.

2009-2010 (L1)

  • Trente-deuxièmes de finale : Le Mans (L1) - Valenciennes : 1-0
     

2008-2009 (L1)

  • Trente-deuxièmes de finale : Toulouse-Valenciennes : 0-0, 5 t.a.b. à 4

2007-2008 (L1)

  • Trente-deuxièmes de finale : Lorient (L1) - Valenciennes : 2-1

2006-2007 (L1)

  • Trente-deuxièmes de finale : Valenciennes - Caen (L2) : 2-1
     
  • Seizièmes de finale : Romorantin (Nat.) - Valenciennes : 1-2
     
  • Huitièmes de finale : Paris-SG (L1) - Valenciennes : 1-0 

2005-2006 (L2)

  • Trente-deuxièmes de finale : Nantes (L1) - Valenciennes : 2-1
     
  • Huitième tour : Lesquin (CFA) - Valenciennes : 2-2, 3 tab 4
     
  • Septième tour : Valenciennes - Arras (CFA2) : 5-0


2004-2005 (National)

  • Cinquième tour : Feignies (CFA2) - Valenciennes : 2-0

2003-2004 (National)

  • Cinquième tour : US Dunkerque (CFA) - Valenciennes : 0-2
     
  • Sixième tour : Valenciennes - Avion CS (CFA) : 2-1 (a.p.)
     
  • Septième tour : Le Portel Stade (DH) - Valenciennes : 0-3
     
  • Huitième tour : Saint-Quentin (CFA2) - Valenciennes : 1-4
     
  • Trente-deuxièmes de finale : Changé (Honneur) - Valenciennes : 0-3
     
  • Seizièmes de finale : Valenciennes - Monaco (L1) : 0-0, 1 t.a.b. à 4

2002-2003 (National)

  • Cinquième tour : Arras (DH) - Valenciennes : 1-3 a.p.
     
  • Sixième tour : Liévin (Interrégional) - Valenciennes : 1-4
     
  • Septième tour : Livry-Gargan (Ligue) - Valenciennes : 0-9
     
  • Huitième tour : Devant-les-Ponts (Ligue) - Valenciennes : 0-1
     
  • Trente-deuxièmes de finale : Valenciennes - Le Havre (L1) : 2-3

2001-2002 (CFA)

  • Cinquième tour : Loos-en-Gohelle (D) - Valenciennes : 1-2
     
  • Sixième tour : SC Feignies (DH) - Valenciennes : 1-3
     
  • Septième tour : Ermont-taverny (DH) - Valenciennes : 0-3
     
  • Huitième tour : Guesnain SC (DH) - Valenciennes : 0-4
     
  • Trente-deuxièmes de finale : Valenciennes - RC Lens (D1) : 0-1

2000-2001 (National)

  • Cinquième tour : Lesquin (PH) - Valenciennes : 1-3
     
  • Sixième tour : Saint-Omer (CFA) - Valenciennes : 3-1

1999-2000 (National)

  • Cinquième tour : AS Aulnoye (Régional) - Valenciennes : 0-4
     
  • Sixième tour : Roubaix (PH) - Valenciennes : 1-5
     
  • Septième tour : Valenciennes - Reims (N) : 0-2

1998-1999 (National)

  • Cinquième tour : Denain (District) - Valenciennes : 0-4.
     
  • Sixième tour : Valenciennes - Dunkerque (CFA) : 2-1.
     
  • Septième tour : Loguenese (Interrégional) - Valenciennes : 0-5.
     
  • Huitième tour : St-Maur-Lusitanos (N) - Valenciennes : 1-5.
     
  • Trente-deuxièmes de finale : Valenciennes - Wasquehal (D2) : 2-3.

1997-1998 (CFA)

  • Cinquième tour : Valenciennes - Armantières (CFA) : 2-0.
     
  • Sixième tour : Guesnain (CFA2) - Valenciennes : 0-0 a.p.
    (5 t.a.b. à 4).

1996-1997 (National 2)

  • Cinquième tour : Valenciennes - Béthune (N2) : 5-1.
     
  • Sixième tour : Montigny (Interrégional) - Valenciennes : 1-9.
     
  • Septième tour : Maubeuge (N2) - Valenciennes : 0-2.
     
  • Huitième tour : Valenciennes - Wasquehal (N1) : 0-1.

1995-1996 (National 1)

  • Cinquième tour : Denain (Régionale) - Valenciennes : 1-3.
     
  • Sixième tour : Hénin (DH) - Valenaciennes : 0-1 a.p.
     
  • Septième tour : Marly (Ligue) - Valenciennes : 0-2.
     
  • Huitième tour : Bohain (Ligue) - Valenciennes : 0-11.
     
  • Trente-deuxièmes de finale : Valenciennes - Strasbourg (D1) : 1-2 a.p.


Meilleurs buteurs

1954-1955 : Division 2 - VAN RHIJN - 40 buts
1962-1963 : Division 1 - MASNAGHETTI - 35 buts
1955-1956 : Division 2 - VAN RHIJN - 32 buts
1982-1983 : Division 2 - LUBANSKI - 28 buts
1973-1974 : Division 2 - WILCZEK - 26 buts
1946-1947 : Division 2 - LEGLISE - 26 buts
1997-1998 : CFA - SANCHEZ - 26 buts
1947-1948 : Division 2 - DE CECCO - 25 buts
1952-1953 : Division 2 - SBORALSKI - 24 buts
1970-1971 : Division 1 - JOSEPH - 22 buts
1961-1962 : Division 2 - MASNAGHETTI - 21 buts
2000-2001 : National - H.LACHAAB - 21 buts
2004-2005 : National - SAVIDAN - 19 buts
1958-1959 : Division 1 - LIRON - 18 buts
1999-2000 : National - H. LACHAAB - 18 buts
2010-2011 : Ligue 1 - PUJOL - 17 buts
2005-2006 : Ligue 2 - SAVIDAN - 16 buts
1993-1994 : Division 2 - MANGIONE - 16 buts
1964-1965 : Division 1 - MASNAGHETTI - 16 buts
1983-1984 : Division 2 - MERRY - 16 buts
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